Le pays où je suis née
Je viens de pays où le soleil radiant nous fait chanter et vibrer de joie. Toute l’année
Le ciel est toujours bleu et couvert de nuages blancs.
Les montagnes sont pleines d’arbres vert foncé, auxquels servent de refuge à de petits oiseaux multicolores. Sur lesquels la lumière du soleil se mélange aux couleurs comme un arc-en-ciel.
Les vieilles maisons conservent encore leur traditionnelle couleur intense qui nous rappelle notre terre. Cette terre où l’on cultive du maïs, la vanille, des bananes, de la canne à sucre, des ananas etc.
OUI, c’est la terre où nous avons grandis et qui nous rend heureux avec toutes ses couleurs très vives et lumineuses.
Notre pays du soleil qui nous donne le plaisir de vivre.
Comment pourrais-je oublier ce rouge intense et magnifique qui apparaît chaque soir au coucher du soleil .On peut alors apercevoir toute la gamme de couleurs, à la fin il reste sur l’horizon le violet qui me donne une sensation de tranquillité et qui annonce en définitive la fuite du soleil.
Une île fière de ses racines d'ici et d'ailleurs Bref, ce pays ne cesse d’attirer des étrangers de plus en plus, et grâce à ces derniers il est devenu un paradis sur terre.
Île métissée multiculturelle multicolore pleines de fleurs et de senteurs
Le pays dont je viens riche en couleurs. Je n’oublie jamais les odeurs et les couleurs de mon village où je suis née; ils sont toujours dans mon cœur, toujours avec moi. Chez moi chaque saison a sa couleur. Pendant que sur la nature règne le vert. La couleur d’été est une fusion entre le vert et le doré. Chacun de nous a en lui un moment de sa vie qu'il voudrait le faire revenir même pour un court instant. Comment puis-je parler de mes souvenirs d'enfance sans parler d'eux
De ces femmes qui m'avais appris la tendresse, l'amour et m'a laissé tout un trésor de contes anciens pour enrichir mon âme d'enfant!
Je n’ai jamais connu mes grands-pères paternels et maternels! Mais j'ai bien connu la tendresse de mes grands-mères. J’allais passer mes vacances, et ma sœur allait chez son parrain, car mes parents travaillaient.
La vie en famille c’était une grande joie, pour moi de retrouver tous les week-ends mes tantes, oncles cousines et cousins.
Mes parents nous ont donné beaucoup d’amour, la vie n’a pas été facile pour eux, je ne dirais même pas gâte du tout de toute leur existence. Mais l’amour était là, malgré qu’il n’y avait pas de richesse. Ma sœur et moi, nous avions une assez grande complicité depuis notre tendre enfance nos parents nous ont guidés sur le bon chemin. Le village ou on à grandit je n’ai pas connue de violence, chose qu’on ne voit plus de nos jours, la vie n’est plus aussi paisible.
Par la suite j’ai eu une l’adolescence bien banale, une vie de jeune fille sans complication, un peu rêveuse aimant la nature, et le sport. Et une femme comblée….
Comblée tout d’abord par ce jeune homme que j’ai rencontre l’ors de mon arrivée en France, aujourd’hui voilà 27 ans que nous sommes mariés.
Il m’a donné de beaux enfants, il sait me faire rire il à les mots pour m’étonner, et sait me consoler. Il à avant tout un cœur immense, grand… grand quoi!!
Et je l’aime, mos enfants est tout notre bonheur, mais notre cœur court après leur amour. Car aujourd’hui, dans la brume l’amour lui s’est perdu.
C’est si peu dire combien ont les aiment.
Mon pays ensoleillé
l’île d'ou j'ai grandi, c'est là-bas que j'ai fait ma scolarité.
Lorsque j'ai quitté mon pays cher à mon cœur,
Je suis venue en France à mes 18 pour rentrer dans la vie active, et c’est là que je suis resté j’ai fondée une famille.
Depuis c’est refaire le parcours de ma propre vie,
Revoir les moments importants, marquants, les liens, les ruptures. Définir les instants charnières, les changements de cap, les espaces de paix et de calme, etc., ce qui nous a construit, nous a fait avancer. Découvrir ou redécouvrir les éléments déstabilisants, qui font mal, ceux au contraire qui nous soutiennent, nous rendent plus forts. Définir les éléments importants qui peuvent nous aider lors d’un cheminement que nous voulons, devons faire. Sur quoi puis-je m’appuyer dans la vie ? Quelles sont mes ressources, mes forces intérieures, extérieures ? Sur quoi, sur qui puis-je compter ? Je ne voyais qu'un bonheur parfait une enfance pleine de gaieté pleine d'amour et de tendresse mais toutes ces belles années ont tournées au cauchemar. Parfois, j'aimerais bien oublier. Oublier tout, ma vie, mon enfance, les lieux où j'ai vécu, les vacances, les amis. Car, peu importe l'endroit où je vais, les gestes que je fais et même pour les petites choses quotidiennes, les souvenirs me rattrapent constamment. Ils sont là. Peut-être sont-ils là depuis longtemps, profitant de la moindre inattention pour se faufiler, se manifester et me surprendre.
Les souvenirs reviennent, ils me suivent et je ne peux leur échapper.
Ça faisait quatorze ans que je n'étais pas allée au pays de ma petite enfance. Mes retours étaient empreints d'émotions incroyables, insoutenables. A tel points que je n'ai pas pu expliquer, à mes enfants lors de leurs premières vacances, leur raconter mon histoire vers ce lieu où jadis enfant je fus heureuse. Souvent, je demandais à mes parents de me raconter mon histoire, de me parler de mes origines.
Ces petits moments de rêveries que je propose bien humblement à travers divers articles, je les dois en partie aujourd’hui à mes enfants.
Mon village, tout comme l’île ont bien changé au fil des ans.
Un moment de son enfance quand on se le remémore on a ce sourire aux lèvres qui se dessine tout seul par bonheur et par souhait qu'il revient.
J’ai gardé en moi tout mes bons moments avec mes amies.
Que je souhaiterai revoir un jour.